67% des emballages sont recyclés en France. Grâce à vos efforts, les 100% sont à portée de main. Mieux encore, pour chaque défi relevé, un projet éco-solidaire est financé par Citeo !
+ 457 000 €
reversés à des associations via notre partenaire Goodeed.
Actuellement
Dans la vie, il y a des questions auxquelles on ne sait pas toujours comment répondre. Et d’autres si ! C’est un emballage ou pas ? Si c’est oui, je le trie !
Je découvre les spotsOui, oui, et oui : ressources naturelles préservées ou énergie économisée…
La preuve en chiffres.
Toutes les questions que vous vous posez car, oui, c’est utile !
Depuis le 1er janvier 2023, le tri est désormais simplifié : TOUS les emballages en métal, en plastique, en carton, ainsi que les papiers vont dans la poubelle jaune. Et oui, cela concerne même les blisters, les barquettes, le film plastique, le tube de dentifrice et les pots de yaourt !
Les résultats sont déjà là : on recycle en moyenne 3 kg d’emballages supplémentaires par habitant dans les territoires concernés.
Pour vérifier les règles de tri chez vous où en vacances, consultez le Guide du tri. Réponse immédiate !
Et où que vous viviez, gardez les bons réflexes en jetant vos emballages :
Non, non et non.
Cette idée reçue a la vie dure et gaspille inutilement une eau précieuse.
Tous les emballages salis, tâchés, gras gras peuvent être déposés dans votre bac de tri.
Briques de lait ou de soupe, boîtes de pizza, boîtes de conserve, pots et bocaux en verre : il suffit de bien les vider et d’enlever les restes alimentaires qui pourraient dégrader le contenu de votre bac de tri.
Une fois collectés par les éboueurs, les emballages partent dans des usines où ils sont regroupés par matériaux puis broyés et lavés avant d’être recyclés. Donc pas besoin de les laver chez vous !
Oui pour la majorité. En 2023, 67% des emballages en France ont été recyclés, soit plus de 4 millions de tonnes. Bien sûr, il s’agit d’une moyenne, et tous les matériaux ne sont pas à égalité. Par exemple, 86% des emballages en acier sont recyclés alors que seuls 27% des emballages en plastique le sont.
Pourquoi ces différences ? Il faut bien faire la différence entre le fait qu’un emballage soit recyclable, et qu’il soit effectivement recyclé.
Pour être recyclés, il faut à la fois que les emballages soient recyclables… et qu’ils soient triés.
La recyclabilité d’un emballage dépend de nombreux facteurs (matériaux, colorants…). Pour le plastique par exemple, aujourd’hui, en France, 65 % des emballages en plastique sont recyclables, 15 % appartiennent à des filières de recyclage en cours de développement et 20 % sont encore non recyclables pour le moment
Évidemment, il est impossible pour les consommateurs de devenir des spécialistes des résines plastiques ou des techniques de recyclage. Pour faire progresser le taux de recyclage, il est donc impératif de trier plus, même si tous les emballages ne sont pas recyclables. La simplification du tri permet en effet de faire basculer dans le bac jaune les emballages et papiers qui se trouvent encore dans les ordures ménagères et de récupérer de la matière recyclable.
Mais faut-il vraiment tout trier si tous les emballages ne sont pas forcément recyclés ? Oui !
Un emballage trié sera transformé en ressource : soit il sera recyclé, soit il sera valorisé pour produire de l’énergie.
En 40 ans, la production d’ordures ménagères a doublé. Aujourd’hui, chaque Français jette en moyenne 262 kg d’ordures ménagères par an.
Que reste-t ’il donc dans cette poubelle « grise » ?
Nos études montrent qu’il reste encore 54 kg d’emballages et de papiers non-triés ! Première bonne nouvelle, on peut donc faire « maigrir nos poubelles » de plus de 20 % en triant systématiquement. Encore un effort, avec la simplification du geste de tri cela devient de plus en plus facile.
Il n’y a bien sûr pas que des déchets d’emballages et les papiers dans nos poubelles d’ordures ménagères. Les biodéchets (restes alimentaires, épluchures, déchets du jardin…) représentent le tiers du poids de nos poubelles d’ordures ménagères. La plupart sont incinérés ou enfouis en décharge : un immense gâchis que vous pouvez éviter. Le compostage de ces biodéchets a un double avantage. Il permet en effet à la fois d’alléger nos poubelles et de produire un engrais naturel pour nos jardins. Et si vous n’avez pas de composteur à la maison, vous pourrez bientôt profiter d’une solution de collecte des biodéchets dans votre commune.
Envie d’aller plus loin ?
Chacun d’entre nous peut agir au quotidien pour réduire la quantité de ses déchets. Voici quelques exemples de gestes qui vous permettent de réduire les impacts environnementaux de votre consommation (et de réaliser des économies) :
Quant à vos appareils électroménagers ou électroniques qui ne fonctionnent plus, il y a de grandes chances que vous puissiez les réparer… et même bénéficier du « bonus réparation » pour le faire (un forfait de 10 à 45 euros selon le type d’appareil à réparer), bonus qui sera bientôt étendu aux textiles.
Tous dans le bac de tri !
Et oui, cela concerne même les blisters, les barquettes, le film plastique, le tube de dentifrice et les pots de yaourt…
Aujourd’hui, 65% des emballages en plastique sont recyclables : les bouteilles, les flacons, les films des packs de bouteilles d’eau ou les boîtes de chocolat en poudre. C’est un beau progrès, puisqu’il y a quelques années ce chiffre n’était que de 50%. Et cela continue à bouger : 15% des emballages plastiques disposent de filières de recyclage en développement, comme les barquettes de jambon par exemple.
Les 20% restants ne sont pas encore recyclables…
Mais il faut les trier quand même ! Pourquoi ?
Car ils sont utilisés pour réaliser des tests à grande échelle dans de nouvelles usines qui seront capables de les recycler d’ici un à deux ans.
Une campagne Adelphe et Citeo